Le quartier des Pyramides, malgré une grande ambition sociale et architecturale au moment de sa création, porte aujourd’hui les stigmates et dysfonctionnements des quartiers construits dans les années 1970 – 1980 : quartiers enclavés, avec des difficultés d’entretien dues d’une part à un « abandon » des bailleurs, et des copropriétés, mais également au linéaire de façades et au nombre de balcons terrasses.
A la mauvaise lecture des équipements et des commerces existants, tournés en cœur d’îlot, s’ajoute des traitements de sols ne correspondant pas à une utilisation confortable pour les habitants. Ce sentiment est renforcé par une structure urbaine peu lisible sans continuité de traitement, avec de grandes difficultés d’accès dues aux différences de niveau importantes.
Le quartier a été désenclavé et les voiries de desserte du quartier hiérarchisée.